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Rd Congo - Rwanda : Pourquoi cet acharnement sur la RDC par le Rwanda ? ...

Chers toutes et tous,
 
 
Mes salutations respectueuses et amicales!
 
 
Quand dit-on que "le pouvoir est dans la rue"? On dit que le pouvoir est dans la rue quand une personne ou un groupe de personnes ou encore une institution (parlement, armée, police, etc.) peut s'accaparer dudit pouvoir et en trouver des justifications convainquantes (pour son opinion et l'opinoin internationale) pour s'en prévaloir. Des nombreux exemples nous sont donnés par la RDCongo même si la prise effective n'a eu lieu qu'à deux occasions... La première occasion, la plus récente, était celle où, juste avant son assassinat, le général Mayele se trouve seul à la tête de l'État, Mobutu, Kengo, l'autre général ont fui et l'opposition radicale se terre. L'autre occasion fut celle où les deux garants politiques de la constitution qui leur donne le pouvoir se sont mutuellement révoqués. Il s'agit de JKalalubu et de PELumumba en 1960.
 
Parmi les nombreuses autres occasions sont le moment où Mobutu, malade, était à l'hôpital en Europe et que le Rwanda-Afdl occupait l'Est; le moment où LDKabila est assassiné (surtout les 48 entre l'acte et sa révélation); tous ces moments où JKabila joue avec la constitution, car en tout temps, qu'une personne ou un groupe de personnes prend avantage sur la constitution d'un pays, cela ouvre presque automatiquement la voie à une renversement constitutionnel.
 
 
Pour dire qu'il ne suffit pas qu'il y ait un individu ou un groupe d'individus qui assument le pouvoir pour exclure la notion de "vacance de pouvoir". Et nous revenons ainsi à ce que JDiana dit clairement: la prise du pouvoir, même dans la rue, n'est pas un rêve mais un aboutissement méthodologique de stratégies de prise de pouvoir. Il ne faut pas s'enfermer chez soit et proclamer la prise de pouvoir, ni devenir une "vedette internationale" pour le prendre... Il faut une stratégie de prise de pouvoir; ce qui implique une stratégie, des actions et une méthodologie.
 
 
Aussi, JDiana a raison de rappeler que le pays est déjà passé par pire moments qu'aujourd'hui. Certains, parmi les plus impliqués en cette période là, se souviennent du jour où, devant le comité sénatorial sur les affaires étrangères, SRice alors sous-secrétaire d'État déclara que la RDCongo avait cessé d'exister. Ce qui fut repris par un représentant canadien, MGauthier, au Glendon College, à Toronto, avec carte à l'appui prétendant que les trois parties (gouvernement, RCD, MLC) ne reviendraient plus ensemble et qu'elles seraient bientôt reconnues comme États indépendants par la communauté internationale. Je m'étais opposé à cette vision en pleine salle en démontrant que là où les RCD-MLC, il y avait des Maï-Maï authentiques (par opposition aux créations rwandaises que les congolais confondent avec la réalité au point de passer globalement les Maï2 comme forces négatives!) qui représentaient la légitimité par rapport aux agents de la mondialisation sous la direction des sous-traitants Kagame et Museveni...
 
 
Oui, le M23-CNDP-Rwanda venait de prendre Goma. Je suis d'avis que la seule prise d'un mètre du territoire national par un groupe terroriste étranger -- des étrangers, peu importe les années qu'ils ont passé au pays, ne peuvent prétendre former une rébellion ni causer une balkanisation du pays (un mauvais choix de mots qui concourt au cercle vicieux de la violence gratuite) -- doit faire très mal. Mais quand on sait que le Rwanda-Ouganda avait pris tout le pays à travers l'Afdl et qu'aujourd'hui ils n'occupent qu'une infime partie du pays, on peut s'en réjouir. D'où mon questionnement autour des négociations. Négocier le mensonge et la dissimulation???
 

 
Dans le livre Les Bahunde aux pieds des volcans virunga (R.D. Congo), Études africaines, Ed. L’Harmattan, Paris 2005, préfacé par le professeur Ndaywell, l’ambassadeur Murairi MITIMA nous rapporte la situation conséquente de l’implantation des BanyaRwanda en RDCongo de 1937 à 1954. Les autorités belges, dans une décision administrative, avaient implanté des populations rwandaises en RDCongo, particulièrement dans la région de Masisi où ils ont recréé un mini-Rwanda (population et pouvoir soumis au mwami du Rwanda), au Maniema et au Katanga. En 1954, fin du programme d’implantation au Masisi, il y a près de 60000 individus (selon le chiffre du commissaire de district Spitaels, responsable du programme d’implantation au Nord-Kivu) intrinsèquement liés au pouvoir rwandais. Ils ont un chef nommé par le mwami du Rwanda, dont un, Mutara Rudahigwa, arrivera en visite officielle rendre visite à sa colonie en 1944. La présence de cette colonie ne tardera pas à créer des tensions avec les autochtones, surtout les Hunde. Le Chef rwandais, « Buchanayandi et ses subalternes font des démarches en vue de faire reculer les frontières du Gishari sur les chefferies voisines – c’est-à-dire d’empiéter sur leur territoire laissé aux autochtones de près de 75 km » [Ceci ne vous rappelle-t-il pas les « accords de Lemera » ?)]
 
 
Les Hunde, comme les congolais aujourd’hui, ont désespérément réagi. En 1955, il y a un gouvernement socialiste de Buisseret en Belgique. Ce gouvernement commence à comprendre que la politique d’implantation des BanyaRwanda en RDCongo était une erreur. Ils ont visiblement envie de la corriger, comme nous le démontre les extraits suivants : « Le voyage en Belgique du Mwami Hunde, André Kalinda, en juin 1955 se couronne de succès ; par la Décision nº 22F331/Gishari du 16 janvier 1957 du Comissaire de District-Assistant, M. Thilmany, le Pouvoir colonial supprime la chefferie Gishari, révoque le sieur Buchanayandi et le renvoie au Rwanda, et rétablit les droits de la Chefferie BaHunde sur ladite Enclave du Gishari ! Les immigrés respectueux des lois congolaises ne seront pas pénalisés car ils seront autorisées à y demeurer, mais à condition de reconnaître l’autorité et les droits fonciers des Chefs coutumiers baHunde ». Plus loin, on peut constater la sincèrité dans la démarche de l’administration coloniale : « Dès 1949, le gouverneur de la Province du Kivu, M. Liesnard, affirmait : La création de la chefferie Gishari a été une erreur politique. Nous ne devons pas répéter l’erreur politique commise au Gishari. Les BanyaRwanda viendront avec leurs notables, mais ils devront dépendre politiquement des Autorités indigènes du Congo Belge. Nous ne pouvons pas spolier les Autochtones de leurs terres, et nous devons tenir compte des droits des Chefs du Congo Belge (…) Quant à moi, mon attitude était dictée par le souci d’éviter de reproduire l’erreur faite à l’occasion du peuplement du Gisahri, en mettant à la tête d’une chefferie indépendante un chef MunyaRwanda, qui peut se voir sous l’obédience politique des Autorités indigènes du Rwanda ». Pendant ce temps, « les Services spéciaux de la Province estimaient de la plus haute importance de rappeler en 1958 aux Autorité coloniales la persistance du danger malgré la suppression de cette Chefferie fantôme : L’objectif (de la création du Gishari) était l’expansion rwandaise, et de ce fait, une source d’intrigues entre les uns et les autres (…) Il est utile d’insister sur le danger des intrigues dans les Gishari. Actuellement (en 1958) les anciens sous-chefs de Buchanayandi mènent une propagande sournoise contre l’autorité des BaHunde, tandis que d’autres BanyaRwanda contactent directement le Mwami du Rwanda afin qu’il soutienne les revendications rwandaises sur le Gishari (…) Si les immigrations des BanyaRwanda ont contribué à l’évolution agricole du territoire (de Masisi), on est en droit de se demander si ce (maigre) avantage économique contrebalance les ennuis politiques causés par la présence de ces non-congolais (sic). Il est à craindre que cette réalité ira, un jour, à l’encontre des instructions qui prévoient que les BanyaRwanda doivent être considérés à titre individuel et s’intégrer sous l’autorité des Chefs locaux »… Plus tard, d’autres populations rwandaises se sont rajoutées, essentiellement les réfugiés Tutsi fuyant les pogroms rwandais des années 1960 et 1970. Dans le point répartition géographique de réfugiés rwandais, l’économiste rwandais, Jean Sayinzoga, dans Les réfugiés rwandais, Quelques repères historiques et réflexions socio-politiques (Genève-Afrique, 1998) estime qu’ils étaient plus de 200000 (chiffre de 1964) au Burundi, près de 78000 (1964) en Ouganda, près de 36000 (1964) en Tanzanie et 22000 (1964) au Zaïre (à Bibwe, Hura, Nyakaliba, plaine de la Rusizi et Murenge-Remera).
 
En RDCongo, la responsabilité était partagée entre les Nations Unies (UNHCR) et le gouvernement congolais… Un peu dans le même sens que les craintes exprimés par le pouvoir colonial à l’endroit des BanyaRwanda implantés dans l’enclave du Gishari (1937-1954), une lettre de septembre 1964 signée par le Délégué du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés et par celui de la Croix Rouge, adressée « aux réfugiés rwandais de Lemera, Mulenge et Katogo » disait : « Vous êtes isolés en ce moment. Les ponts sont coupés et il y a des barrages sur les routes, et pour cette raison nous ne pouvons pas nous rendre parmi vous. (…) En attendant, nous vous demandons de rester STRICTEMENT NEUTRES. Vous avez obtenu asile au Congo à condition que vous ne vous occupiez en aucune façon de politique. Si quelqu’un vient demander votre appui, vous devez répondre qu’en tant qu’étrangers, réfugiés et hôtes de la République du Congo, vous ne pouvez pas. VOUS NE DEVEZ PAS prendre part à quelque mouvement politique que ce soit (…) Que chacun reste à son poste, MAIS SURTOUT RESTER EN DEHORS DE TOUTE POLITIQUE » [les majuscules sont de la lettre originale].
 
 
Au lieu de poursuivre avec la politique de compréhension belge déjà initiée dans la situation particulière dans le Masisi et, par conséquent, y apporter une solution durable avec l’aide obligatoire de la Belgique, des Nations Unies et du Rwanda – dans une sorte d’un accord multilatéral – la RDCongo de Mobutu se comporta de manière très irresponsable, comme nous le rapporte J.-C. Willame dans Zaïre : État de crise et perspectives futures (février 1997) où on peut lire :
 
 
« D’une toute autre gravité est la crise qui secoue les deux provinces du Kivu depuis 1993. Son origine tient en fait non pas à de simples antagonismes inter-ethniques ordinaires mais à une question de nationalité posée en fait depuis le début des années 1960… La question de savoir qui est Zaïrois et qui ne l’est pas est posée dans le Kivu montagneux dès les premières années de l’indépendance lorsque plusieurs dizaines de milliers de Tutsi, dont la plupart s’identifie aujourd’hui à l’appellation BanyaMulenge, fuient les pogroms ethniques au Rwanda en 1959-1961, en 1963-1964 et en 1973, tandis qu’un nombre indéterminé de Hutu se réfugie au Zaïre suite au génocide de 1972 dans le Burundi voisin. À ces mouvements forcés de populations, se superpose le problème de la présence d’une nombreuse population d’origine rwandaise que l’on appelle BanyaRwanda et sont 85000 à 90000 personnes qui ont été installées entre les années 1937 et 1945 par le colonisateur dans un territoire déjà surpeuplé pour servir de main d’œuvre dans les plantations coloniales de la région du Nord-Kivu ou dans les sites miniers du Katanga. En 1965 [1963 ?], une première guerre tribale, dénommées « KanyaRwanda » oppose les notables d’ethnies « congolais » (Hunde et Nyanga) à ceux des BanyaRwanda à propos du refus des seconds d’accepter l’autorité des premiers qui se considèrent comme les vrais natifs et occupants fonciers des territoires méridionaux du Nord-Kivu (Masisi, Walikale, Goma).
  
En 1972, le président zaïrois calmera la tension larvée entre « Zaïrois » et « non-Zaïrois » en octroyant autoritairement la nationalité zaïroise à tous ceux qui résident dans la province du Kivu avant le 1er janvier 1950 (art. 1 de la loi 72-002 du 5 janvier 1972). Il faut préciser que cette loi a été inspirée par le lobby tutsi qui, à cette époque, est très influent autour du président de la République lequel a toujours privilégié les membres des groupes ethniques conscients de la précarité de leur statut social politique. Les « Rwandais » vont ainsi acquérir la nationalité zaïroise de plein droit … les BanyaRwanda vont accaparer les meilleurs terres en court-circuitant, par le recours à la législation « moderne », les règles coutumières d’attribution foncière des terres. À partir de 1978, date du renvoi du Tutsi rwandais B. Bisengimana du Bureau de la Présidence ; une marche arrière est opérée quant à la question de la nationalité des ressortissants d’origine et de langue rwandaise. Une nouvelle loi est votée par le Conseil législatif (parlement zaïrois) en 1981 et annule celle de 1972 …
 
Même si l’inquiétude gagnait les « Rwandais » du Zaïre et en particulier les « barrons » tutsi du régime, le système de protection dont ils bénéficiaient continua à fonctionner tant au niveau local (accaparement des terres) qu’au niveau de l’élite. Ce ne fut qu’au moment où la Conférence Nationale Souveraine fut établie en 1991 que le vent se mit à tourner radicalement contre les représentants des BanyaRwanda qui furent exclus du conclave. En mars 1993, suite à un mouvement de désobéissance civile dans le territoire de Masisi majoritairement peuplé par les ressortissants d’expression rwandaise, un nouveau « KanyaRwanda » fut enclenchée. En quelques semaines, la « guerre » fit quelques 200 morts et surtout 130000 déplacées et 80 villages incendiés ».
 
 
Ceux et celles d’entre nous qui avons suivi l’incident sur le Nord-Kivu à la Conférence nationale souveraine (CNS) remarquent vite que les craintes exprimés par les autorités belges étaient devenus une réalité : la Magrivi demandait aux BanyaRwanda de ne plus accepter l’autorité locale. Peut-être même qu’on rejetait toute autorité congolaise si on se réfère aux revendications multiformes des initiateurs de l’occupation d’Uvira, Goma et Bukavu en 1996 avant le parachutage de LDKabila et de Kisase Ngandu. En clair, les revendications allaient contre l’autorité congolaise tout court, à tel enseigne que les tenants du discours n’ont pas hésité à s’en prendre violemment au pouvoir du même Mobutu qui, pourtant, leur avait été de loin très favorable. Mais au peuple vivant, depuis des siècles, du mensonge et de la dissimulation, les bons gestes ne signifient pas reconnaissance.
  
 
Pourtant, les sous-traitants connus de la misère congolaise doivent le savoir: L'ENTRÉE EN RDCongo, N'ÉTAIT NI OBLIGATOIRE NI ÉTERNELLE.
 
Selon le responsable du programme d'implantation, "Cette immigration ne doit pas être considérée comme définitive. Notre action est, en effet, basée sur la plus complète liberté. L’immigrant qui n’est pas satisfait de son sort au Kivu est, nous l’avons dit, libre de retourner au Rwanda et cela arrive régulièrement, mais pas fréquemment. (Spitaels, R., « Transplantation de BanyaRwanda dans le Kivu-Nord – Commissaire de District, Chef de la « Mission immigration BanyaRwanda »). Dans le livre de C. Newbury, The Cohesion of Oppression. Clientship and Ethnicity in Rwanda 1860 – 1960, Columbia University Press, New York 1988, pp. 143, 247 où on peut apprendre que « la vraie raison de l’implantation des BanyaRwanda en RDCongo était plutôt le fait que l’établissement important de la population rwandaise allait assurer une main d’œuvre et de la nourriture moins chère aux colons européens dans la région de Gishari » et qu’ « en 1938, l’administration coloniale au Rwanda monta une campagne vigoureuse pour encourager à l’émigration (particulièrement les Hutu) » on trouve, dans une note explicative vantant les avantages d’émigrer un point précisant qu’il existe une « liberté absolue de retourner au Rwanda quand ils le veulent car ils demeurent sujets du Mwami »... Les sous-traitants doivent savoir que les Palestiniens, déplacés massivement en 1948, sont jusqu'ici demeurés réfugiés et jamais citoyens revendiquant des droits par la force des armes. Il en était d'ailleurs ainsi pour les réfugiés rwandais en Ouganda, au Burundi, en Tanzanie et partout ailleurs. D'où la surprise et l'étonnement à voir comment ils se comportent en RDCongo en général et au Kivu en particulier.
  
 
Enfin, va-t-on, hors de tous ces faits véridiques, négocier une propriété terrienne fausse? Va-t-on négocier un changement constitutionnel? Va-t-on dire que tout député du Masisi doit être issu de l'immigration BanyaRwanda comme on le voit avec les "nommination Cndp-CENI" de la dernière élection de 2011? Va-t-on négocier l'impunité? Pour cette dernière, l'impunité, je les mets en garde: un gouvernement complaisant comme il en est en RDCongo maintenant, pourrait se passer de ses lois et conventions internationales pour plaire à des terroristes (JMutebusi, LNkunda, BNtaganda, SMakenga, J.-M.Runiga, etc.). Mais, le crime de sang est devenu imprescriptible avec les principes de l'Equity anglais qui s'imposent en droit international qui, en la matière, influence tous les droits nationaux. Une amnistie aujourd'hui n'est pas du tout une amnistie pour toujours. L'exemple le plus récent est celui du Cambodge. Au nom de la paix avec les puissants Khmers Rouges, une loi nationale d'amnistie avait été initiée et votée. Mais dès que le pays a commencé à connaître un peu de stabilité, le même parlement a révoqué la loi et traîné les auteurs du génocide cambodgien devant les tribunaux nationaux et ad hoc des Nations Unies (régime mixte).
 
 
 
Ce qui est regrettable dans le cas de la RDCongo est que le travail de base ne se fait même pas. Il aurait fallu tout d'abord, un discours national qui tracerait la vision de la RDCongo sur la résolution de la crise. Une vision nationale sans coloration politique; juste l'INTÉRÊT SUPÉRIEUR DE LA NATION. Un discours politique devrait comprendre certaines actions clairement indicatrices de ce que l'on vise. Par exemple, pendant qu'on travaille sur les défaillances de l'armée, on devrait déjà neutraliser les infiltrés (mesures communément utilisées pour un pays en guerre), mettre le parlement au travail pour des lois qui définissent, qualifient et catégorisent les crimes violents qu'a connu le pays depuis octobre 1996. Pendant ce temps, une mise à point d'une commission de travail sur le sujet serait en train d'y travailler et d'éclairer ainsi le Parlement. Par ailleurs, la nommination d'un ministre de l'immigration avec, entre autre, mandat de prendre contact avec la Belgique, les Nations Unies, le Rwanda et d'autres institutions internationales sur les populations déplacées d'Afrique centrale depuis la colonisation démontrerait qu'on travaille sur une solution globale et humaine. Etc.
 
 
Merci pour votre temps précieux!
 
 
Mastaki Bayange 25nov2012
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