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Rd Congo: Le cri des Femmes Congolaises pour sauver leur patrimoine national (Suite et fin) ...

2.- SON ACTION NEFASTE ENVERS LES FEMMES
 
 
Messieurs,
 
 
Poursuivant le calendrier caché des tueurs-tutsi rwandais, VITAL KAMEHERE, alors Président de l’Assemblée Nationale, avait, sur injonction de Joseph Kabila, avait fait voter la loi d’amnistie dont le projet avait été présente par le Ministre Mutombo Bakafwa Senda, Ministre de la Justice de l’époque.
 
 
Cette loi comme vous pouvez le constater, consacre l’impunité des tueurs-tutsi-rwandais et leur donne le droit de tuer les femmes congolaises au su et au vu de vous, hommes politiques congolais !
 
 
Quelle honte !!!
 
 
Ne rejetez pas la responsabilité à la MONUSCO parce qu’elle ne fera rien et vous le savez bien. Son responsable : Roger Meece s’occupe de protéger les intérêts des puissances étrangères, des multinationales et consort. (cf. la lettre ouverture des Femmes de la Diaspora Congolaise adressée au Secrétaire Général de l'ONU) qui organisent le pillage des matières stratégiques de notre pays pour les négocier à Kigali et à Bujumbura. Vous devez et avez l’obligation de chasser les occupants de notre pays, mais vous vous terrez dans un silence coupable et complice.
 
 
VOICI LE CONTENU SOMMAIRE DE CETTE LOI D’AMINISTIE
 
 
Article 1er
 Il est accordé à tous les Congolais résidant sur le territoire de la République Démocratique du Congo ou à l’étranger une amnistie pour faits de guerres et insurrectionnels commis dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
 
 
Article 2
 
Aux termes de la présente loi, on entend par:
 
• Faits de guerres, les actes inhérents aux opérations militaires autorisées par les lois et coutumes de guerres qui, à l’occasion de la guerre, ont causé un dommage à autrui;
 
Faits insurrectionnels, les actes de violence collective de nature à mettre en péril les institutions de la République ou à porter atteinte à l’intégrité du territoire national. 
 
 
Article 3
La présente loi d’amnistie ne concerne pas le crime de génocide, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.
 
 
Article 4
La présente loi ne porte pas atteinte aux réparations civiles, aux restitutions des biens meubles et immeubles ainsi qu’aux autres droits dus aux victimes des faits infractionnels amnistiés.
 
 
Article 5
Les faits amnistiés sont ceux commis pendant la période allant du mois de
Juin 2003 à la date de la promulgation de la présente loi.
 
 
Article 6
Le ministre de la justice est chargé de l’exécution de la présente loi qui
entre en vigueur à la date de sa promulgation.
 
 
Fait à Kinshasa le 7 mai 2009
 
 
Joseph KABILA KABANGE
 
 
 
A cause de cette loi inique et cynique, voici à quoi nous assistons :
Enfants violés, vieillards violés, femmes violées, enterrées vivantes, femmes mutilées, femmes meurtries, femmes sauvagement tuées et à qui ces criminels enfoncent des sticks de bois, des débris de verre et du sable dans leurs vagins… tout ceci se passe devant vous, hommes politiques congolais sans que vous puissiez réagir pour mettre fin à ces massacres et carnages et nous protéger, préférant sauvegarder vos intérêts personnels et vos privilèges.
Messieurs,
Au lieu de vous plaindre tout le temps auprès des institutions internationales ou auprès de certaines hautes personnalités, vous devez plutôt vous organiser en résistant afin de bouter dehors tous les tueurs tutsis rwandais de notre pays.
Vous en avez les moyens, mais c’est la peur, la concussion et la compromission qui vous en empêchent. Nous vous invitons à les surmonter et à vous organiser, car trop c’est trop, prenez vos responsabilités.
Le seul qui a osẻ le faire c’est le députe José Makila ; suivez son exemple, poursuivez Joseph Kabila, de haute trahison, d’imposture et de parjure.
Nous ne comprenons pas comment vous supportez de voir des criminels rwandais comme Ruberwa, Nyarugabo, Bizima, Rugwiza, Charles Bisengimana, le General Bivete et tant d’autres responsables des crimes odieux sur les femmes et sur des sœurs religieuses congolaises à Kasika, Mwenga, Makobola,Gatumba Rutshuru, Goma et Bukavu puissent encore circuler librement dans notre pays et continuer de jouir de la manne de notre pays pendant que le pasteur Kuthino, Mokia et le députéDiomi croupissent en prison, et tant d'autres, en l'occurrence les militaires d'origine de la région de l'Equateur qui croupissent depuis des années à la prison de Makala ?
Comment pouviez accepter que ces hommes politiques congolais : Zahidi Ngoma, Tambwe Mwamba, Lambert Mende, Kin-Kiey Mulumba, Wamba dia Wamba, continuer à occuper des fonctions dans des institutions du pays alors qu’ils ont été tous des porte-paroles des tutsi-rwandaise ?
II.DE LA LEGITIMITE DE LA RESISTANCE CONGOLAISE ET DU DROIT DU PEUPLE CONGOLAIS DE PRENDRE EN MAIN SA PROPRE DESTINE
NOUS FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA ne reconnaissons pas la légitimité du gouvernement en place en République Démocratique du Congo, lequel ressemble à tous égards au gouvernement de Vichy en France, à l’époque de l’occupation allemande.
En effet, c’est grâce à l’appel du General De Gaulle du 18 juin 1940 que se sont constitués des réseaux de résistance afin de combattre l’occupation allemande. Aujourd’hui, le CDN lance un appel vibrant à tous les Congolais de venir le rejoindre afin de constituer un front commun pour libérer la République Démocratique du Congo de l’emprise étrangère et d’effacer ainsi des humiliations subies durant plusieurs années.
Avant la France, le peuple des Etats-Unis ont résisté devant le colonisateurs anglais et ont abouti a la Déclaration unanime de 13 Etats unis d’Amérique réunis en Congres le 4 juillet 1776 à Philadelphie dont voici les extraits les plus significatifs qui ont marque les esprits des résistants congolais.
« Lorsque dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l'ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l'opinion de l'humanité oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation… »
« …Toutes les fois qu’une forme de gouvernement devient destructeur de ses buts, le peuple a le droit de la changer, de l’abolir et d’établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes en l’organisant en formes qu’il lui paraitront les plus propres a lui donner la sureté et le bonheur ». »
En conséquence, nous, les représentants des États-Unis d'Amérique, assemblés en Congrès général, prenant à témoin le Juge suprême de l'univers de la droiture de nos intentions, publions et déclarons solennellement au nom et par l'autorité du bon peuple de ces Colonies, que ces Colonies unies sont et ont le droit d'être des États libres et indépendants ; qu'elles sont dégagées de toute obéissance envers la Couronne de la Grande-Bretagne ; que tout lien politique entre elles et l'État de la Grande-Bretagne est et doit être entièrement dissous ; que, comme les États libres et indépendants, elles ont pleine autorité de faire la guerre, de conclure la paix, de contracter des alliances, de réglementer le commerce et de faire tous autres actes ou choses que les États indépendants ont droit de faire ; et pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien de cette Déclaration, nos vies, nos fortunes et notre bien le plus sacré , l'honneur.».
En conséquence, nous, les représentants des États-Unis d'Amérique, assemblés en Congrès général, prenant à témoin le Juge suprême de l'univers de la droiture de nos intentions, publions et déclarons solennellement au nom et par l'autorité du bon peuple de ces Colonies, que ces Colonies unies sont et ont le droit d'être des États libres et indépendants ; qu'elles sont dégagées de toute obéissance envers la Couronne de la Grande-Bretagne ; que tout lien politique entre elles et l'État de la Grande-Bretagne est et doit être entièrement dissous ; que, comme les États libres et indépendants, elles ont pleine autorité de faire la guerre, de conclure la paix, de contracter des alliances, de réglementer le commerce et de faire tous autres actes ou choses que les États indépendants ont droit de faire ; et pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien de cette Déclaration, nos vies, nos fortunes et notre bien le plus sacré , l'honneur. »
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(1)Il fallut trois semaines à Thomas Jefferson pour rédiger le premier texte. Même si à l'époque, on voulut faire penser que la Déclaration était une œuvre collective, les recherches des historiens et des juristes ont démontré que Jefferson en était bien le principal rédacteur. Jefferson était un Virginien âgé de 33 ans en 1776. Il était formé au métier d'avocat, comme bien d'autres acteurs de la Révolution américaine. Homme des Lumières, il avait beaucoup lu et restait influencé par la pensée des philosophes John Locke et Henry Home. Jefferson était également un planteur qui possédait des esclaves
Ainsi, tout comme pour la résistance américaine et française, la résistance congolaise tire sa source de légitimité du fait qu’elle mène son combat au nom de la liberté de la patrie, au nom des droits de l’homme ainsi qu’au nom de la dignité humaine contre les occupants et leurs complices.
De ce point de vue, la lutte que vous mènerez est légale et que les manifestations de celle-ci sont fondées dans la mesure où elles ont pour mission laver l’humiliation actuelle de la R.D.C., en lui donnant une nouvelle légitimité face au pouvoir d’occupation, et de faire valoir le droit du peuple congolais à l’auto-détermination.
C’est pourquoi, se basant sur les dispositions fondamentales de la Charte des Nations-Unies, notamment l’article 1er, alinéa 2 qui stipule : « … le respect du principe de l’égalité de droit des peuples et de leur droit de disposer d’eux-mêmes, et de prendre toutes autres mesures propres a consolider la paix dans le monde. »,
NOUS FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA vous invitons de faire du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes le leitmotiv de leur lutte commune, du fait que ce droit est un principe de droit international positif reconnu par l’ensemble de la communauté des Etats, et consacre par les résolutions 1514 (XV) du 14 décembre 1960 et 2625 (XXV) du 24 octobre 1970.
En effet, comme vous le savez, la résolution 1514 (XV), dite « Déclaration sur l’Octroi de l’Indépendance aux pays et aux Peuples coloniaux réaffirme avec vigueur le droit à l’autodétermination ainsi que le principe de l’intégrité territoriale. Ainsi le paragraphe 6 de cette résolution stipule clairement que «toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l’unité nationale et l’intégrité territoriale est incompatible avec les buts et les principes des nations Unies ».
Faisant sienne cette énoncé, NOUS  FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA luttons pour rétablir l’unité nationale, l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale qui sont mises à mal en République Démocratique du Congo.
C’est dans le même esprit qu’une fois encore, l’Assemblée Générale des Nations-Unies avait adopté en date du 24 octobre 1970 la résolution 2625 (XXV) relative aux principes du droit international touchant aux relations amicales et a la coopération entre les Etats. Sur ce point, les Nations-Unies ont réitéré leur condamnation de la sécession en précisant que «(…) une action quelle qu’elle soit, qui démembrerait ou menacerait, totalement ou partiellement l’intégrité nationale ou l’unité politique de tout Etat souverain et indépendant »,est contraire aux buts et principes des Nations-Unies. De ce fait, l’énoncé de cette stipulation donne droit à tout peuple, lorsqu’il est victime d’un oppresseur ou d’une agression de quelque nature que ce soit, de se défendre.
Il est notamment défini dans l’article premier du Pacte sur les droits civils et politiques du 16 décembre 1966 ce qui suit : « tous les peuples ont le droit de disposer d’eux-mêmes. En vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et assurent librement leur développement économique, social et culturel. »
Il sied de vous rappeler ici que l’agression de la République Démocratiequedu Congo par des puissances étrangères persiste toujours. De même qu’il est regrettable de constater que la MONUC, aujourd’hui MONUSCO, après 10 ans de mandat, n’a pas encore réussi à rétablir la paix en RDC, de protéger les populations civiles massacrées sous ses yeux.
Par ailleurs, NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA nous nous interrogeons toujours sur la signification à donner aux pas de danse du General Obasandjo, l’envoyé spécial des Nations Unies dans les pays des grands lacs et le mercenaire et criminel tueur-tutsi-rwandais Nkundabatware.
IV.-DU DROIT DE LA RESISTANCE CONGOLAISE A LA LEGITIME DEFENSE
Devant cette inertie et le manque de volonté politique du gouvernement congolais de venir à bout de l’agression et de mettre fin a l’occupation ainsi que devant l’amnésie de l’ensemble de la communauté internationale de ne pas appliquer, pour le cas de la République Démocratique du Congo, contre ses agresseurs, les mesures coercitives prévues par les articles 41, 42 et suivant de la Charte en ce qu’il donne mandat aux Nations Unies, de recourir à l’usage de la force pour mettre fin à une agression qui menace la paix et la sécurité internationale, vous vous trouvez fondés en droit d’user de votre droit légitime à la légitime défense.
Ce droit légitime à la légitime défense vous donne l’autorisation légale de lutter militairement afin de faire cesser l’agression. Ainsi, l’article 51 de la Charte des Nations Unies, vous en donnent complètement et le droit et tous les moyens appropriés pour chasser les envahisseurs du territoire de la R.D.C.
Il faut que nous vous rappelions également ici que les agresseurs, composés essentiellement des troupes des armées régulières rwandaises, ougandaises et burundaises devront être considérés désormais comme des forces négatives. comme le sont : FDLR, LRA, interhamwe, les Mai-mai et consort.
Ces agressions caractérisées et systématiques menées contre le Congo ont eu d’innombrables conséquences : crimes de guerre, crimes contre l’humanité, crimes de génocide, massacres des populations civiles congolaises et mouvements forces de celle-ci, 8.000.000 de morts, femmes sauvagement assassinées, pillages des ressources minières, destruction de l’écosystème, aggravation de la situation épidémiologique (plusieurs cas de contamination par le HIV/SIDA, instabilité politique, violations massives des droits de l’homme et du droit international humanitaire.
Pour mettre fin a cette humiliation, NOUS FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA vous invitons de faire recours a l’article 51 de la Charte qui dispose : « Aucune disposition de la présente Charte ne porte atteinte au droit naturel de légitime défense, individuel ou collective… ». C’est pourquoi, la résistance étant naturellement légitime, a le droit de recourir à la force armée pour chasser les occupants afin que la R.D.C. puisse recouvrer sa souveraineté, l’intégrité de l’ensemble de son territoire, son indépendance politique et de mettre fin a l’humiliation.
Nous vous invitons également de recourir à la jurisprudence de la Cour Internationale de Justice qui vous en donne l’opportunité d’entreprendre tous les moyens appropriés pour défendre la RDC.
Saviez vous que des actions en justice avaient été menées par le gouvernement de Laurent-Désiré Kabila contre le Rwanda et l’Ouganda devant la Cour Internationale de Justice et que l’Ouganda avait été condamné à indemniser notre pays et que le Rwanda avait échappé à cette condamnation du fait qu’il ne reconnaissait pas la compétence de cette Cour?
En effet, la Cour Internationale de Justice de la Haye, dans son arrêt du 26 juin 1986 concernant« Activités militaires et paramilitaires au Nicaragua »,la Cour précise que : « …l’envoi par un Etat ou en son nom des bandes et des groupes armées (…) contre un autre Etat d’une gravite telle qu’il équivaut une véritable agression accompli par des forces régulières ».
Comme il est connu par toute la communauté internationale, la R.D.C. est l’objet constant et répété d’agression des bandes armées envoyées par les gouvernements réguliers du Rwanda, de l’Ouganda, du Burundi ainsi que d’autres venant d’autres pays limitrophes.
La R.D.C. n’a pas d’armée pour défendre son territoire national puisque celle-ci a été démantelé et celle que l’on a bricolé fait allégeance à des puissances tierces.
Toutes les opérations de mixage, brassage, et autres conciliabules n’étaient en effet que des perfidies pour faire rentrer l’armée rwandaise et autres à occuper le Congo, à faire main basse sur ses richesses et in fine,concrétiser la balkanisation du Congo. D’autre part, les populations congolaises subissent tous les jours des massacres, assassinats exactions et des humiliations de toute sorte, sans une assistance de nulle part.
Compte tenu de ce qui précède, NOUSFEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA nous nous sentons fondées dans notre conviction de la nécessité d’agir pour recouvrer l’intégrité territoire et la souveraineté de la RDC.
Dans le même contexte, nous voulons partager avec vous son interrogation sur l’attitude du Conseil de Sécurité qui lève l’embargo sur les armes sur le Rwanda, pays agresseur, et le maintiennent pour le Congo, pays agressé.
En effet dans sa résolution 1823 qu’il avait adoptée à ce sujet le 10 juillet 2008, le Conseil de Sécurité, « se félicitant de l’entrée en vigueur du Pacte sur le sécurité, la stabilité et le développement dans la région des Grands Lacs… 1. Décide de mettre fin aux interdictions imposées aux paragraphes 9 et 10 de la résolution 1011(1995) (1), 2. Décide également de dissoudre le comite du conseil de sécurité crée par la résolution 918 (1995) concernant le Rwanda. (2) _____________________________________________________________
(1)Le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 918 (1994) du 17 mai 1994 concernant le Rwanda était chargé de superviser l'application de l'embargo sur les armes et d'entreprendre les tâches énoncées par le Conseil au paragraphe 14 de cette résolution. L'embargo complet sur les armes imposé à l'encontre du Rwanda par la résolution 918(1994)résolution a pris fin le 1er septembre 1996, conformément au paragraphe 8 de la résolution 1011 (1995). Ce Comité a été dissous par la résolution 1823 (2008) du 10 juillet 2008.
(2) le paragraphe 9 de la résolution 1011 citée plus haut interdit toute vente d’armes au Rwanda et le paragraphe 10 interdit au Rwanda de revente d’armes qui lui sont livrées.
Il a ensuite institué un comité de sanctions pour surveiller la RDC.
A cette fin en 2004 (résolution 1533). Quant à la résolution 1807 du 31 mars 2008 qui devait lever cet embargo contre la RDC, celle-ci s’était contentée d’évoquer d’autres questions qui n’ont aucun rapport avec le sujet.
D’ailleurs à l’heure qu’il est cet embargo a été prolongé jusqu’en fin novembre 2010
De même, le droit des Congolais à la légitime défense est également reconnu expressément par la Constitution notamment par l’article 64 qui est ainsi libelle Tout Congolais à le droit et le devoir sacré de défendre le pays et son intégrité territoriale face à une menace ou à une agression extérieure. Un service militaire obligatoire peut être instauré dans les conditions fixées par la loi. Toute autorité nationale, provinciale, locale et coutumière à le devoir de sauvegarder l’unité de la République et l’intégrité de son territoire, sous peine de haute trahison ».
En conclusion, La République Démocratique du Congo est sous occupation, c’est-à-dire, dans une situation dans laquelle elle est placée sous domination politique et militaire étrangère.
Pour toutes ces raisons, NOUS FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA nous vous encourageons de prendre la ferme résolution d’user des moyens possibles en votre possession pour mettre fin à l’occupation en République Démocratique du Congo.
Comme le General De Gaulle fit pour la France, libérez Kinshasa !! et libérez toute la République. Il y va de votre honneur.
Vive la République Démocratique du Congo libérée
Vive le Peuple Congolais, enfin Libre !!!
Et que vive Le Congo Libre (LCL)
Fait à Londres, le 10 octobre 2012
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